Les esclaves du manoir

Claudia, Solange et Gisèle se livrent comme esclaves à l'essai à cinq « maîtres ». Elles comparaissent l'une après l'autre devant eux, et on leur apprend pour quelles raisons elles vont être « dressées » et « châtiées ». Après quoi, on les « examine », elles doivent se déshabiller devant leurs maîtres et montrer « tout ce qu'on cache », allongées sur une table gynécologique. Attachées, nues, les bras en l'air, elles sont humiliées par des attouchements vicieux, tripotées comme des bêtes, masturbées, fouettées. On fouille leur anus, leur vagin, on y introduit des olisbos de toutes dimensions. Ces « préparatifs » achevés, elles seront « consommées » par les maîtres. Ils se déchaîneront et les cinq filles, transformées en chiennes et en juments, avec des queues factices dans l'anus, subiront les « saillies ». S'étonnera-t-on de les voir prendre goût à cette servitude ? Ce serait bien mal connaître ces perverses jouvencelles. Elles en redemanderont, feront en sorte d'être encore plus gravement « punies ». Ah, qui dira les délices de l'amour vache ? Leur stage achevé, les cinq filles décident de « s'associer » pour se louer dans des soirées mondaines du même genre.