Appelez-moi Nathalie

Plongez dans l’histoire d’une petite famille, qui débute dans les années 1950 en ex-URSS. Malgré les restrictions du régime, leur quotidien à Lviv est riche culturellement, leur permettant même de faire quelques escapades ensoleillées à Odessa, en Crimée et au bord de la mer Baltique, dont les descriptions pittoresques font découvrir ces contrées captivantes à plus d’un titre. Toutefois, lorsqu’une brèche s’ouvre dans le Rideau de fer, la famille décide d’immigrer en Pologne, où elle séjourne pendant trois ans. Au bout de cette période riche en événements imprévus, ils font de nouveau leurs bagages et partent pour Israël, où ils sont affectés dans un camp de baraquement destiné aux nouveaux immigrants, venus des quatre coins du monde. Ce récit souvent émouvant, teinté d’humour et de nostalgie, est une fenêtre sur un monde en mutation, précédant les tragiques événements qui secoueront Israël le 7 octobre 2023. Un avant-propos poignant qui rend hommage à une actualité brûlante, et qui offre une résonance contemporaine à ce voyage à la fois personnel, universel et intemporel.