La Préhistoire nouvelle. Tome 5 : La ruée vers l’Est

Ce que j'appelle la ruée vers l'Est, vous l'avez deviné, cher lecteur, c'est le pendant de celle de l'Ouest aux Etats-Unis, une course aux meilleures places, aux meilleurs terrains et gibiers. Ici, point de chasse à l'or, mais tout de suite s'érigent des forteresses pour défendre les implantations. A croire que dans les temps anciens, la paix ne devait pas être une constante. Bref, ce tome serait une « version nord » de la migration, l'ancêtre de la route de la soie, avec tous les pays traversés où l'on retrouvera des traces préhistoriques du passage de l'homme moderne, avec la constante surprenante de l'alphabet de Glozel.
Suivez à votre tour ce parcours étonnant : il commence à la mer Noire pour aller jusqu'en Chine, en pénétrant sous un aspect indo-européen le centre si mal connu de ce grand continent eurasiatique. Mon lecteur comprend encore très vite pourquoi autour de la mer Noire ont été établies des habitations pour plusieurs milliers de personnes : ce sont évidemment des lieux de passage et de regroupement. Pourquoi en Azerbaïdjan la pièce de monnaie de 5 manat comporte-t-elle des caractères glozéliens? Et pourquoi ceux-ci se retrouvent-ils jusqu'en Chine ?