Le diable par la queue

Marion est une jeune fille de province, qui vient d’obtenir son bac. À 18 ans, mise en appétit par l’exemple maternel, la grande adolescente, qui, davantage encore que sa mère, est une bombe sexuelle, ressent des envies courir sur sa peau – à certains endroits... et certains envers.
Son job d’été, l’étudiante l’obtient grâce à une « connaissance » de sa mère, Jacques T., qui possède la plus grande pharmacie de la ville. Il règne une ambiance torride dans cette officine peuplée d’une bande de femmes, sur lesquelles Jacques T. exerce un droit de cuissage – toujours bien reçu, il faut le préciser.
Parmi le personnel, il y a Laurence, la responsable, qui accueille la nouvelle venue. En guise de briefing, dans les vestiaires où les employées se changent en arrivant, la chef demande à Marion de lui introduire... une garniture périodique. (On est dans une pharmacie, non ? alors, pourquoi se gêner ?)
Parmi les collègues, on trouve aussi Séverine, une petite brune enceinte, que sa grossesse n’inhibe surtout pas... Hélène, une grande fille chaleureuse, qui a toujours trop chaud... Laura, une blonde aux grands yeux bleus, qui savent clairement se faire comprendre... -Mariana, une brune bien en chair, dont la croupe tend la blouse... et puis Géraldine, Dorothée, Karen... En plus de faire plaisir au patron, toutes ces dames adorent s’amuser entre elles... et avec les clients.
Ces messieurs, elles les rencontrent à la pharmacie, qui ne manque pas d’endroits retirés... et aussi à domicile, pour les fameux « -prélèvements ». Vous avez dit prélèvements ? Oui, c’est là un art des plus délicats, qui demande du doigté... et quand les doigts ne suffisent plus, nos -pharmaciennes œuvrent sans les mains !

Illustré par Jean-Yves Masson