Loherangrin, le chevalier du cygne royal

Élisa se voit accusée d’avoir assassiné Olivier en le projetant en dehors de la nacelle de la montgolfière lors d’une envolée de nuit. L’huissier convoque la cour. L’avocat de la couronne lance l’accusation, mais l’avocat de la défense n’est pas là pour défendre l’accusée.
Loherangrin arrive in extremis et produit ses témoins. L’accusation de meurtre ne tient plus. Élisa devient libre. La vanité blessée de ses deux accusateurs confondus crie vengeance.
Dans un geste insensé, Éric frappe. Loherangrin bascule, tombe par-dessus la rampe d’un balcon et vient s’écraser dans la rocaille. Le chevalier du Graal reprend conscience, mais trop meurtri, il meurt dans les bras d’Élisa.
L’âme de Loherangrin se détache de son enveloppe terrestre et, avant de quitter cette terre, s’adresse un instant à Élisa, son cher amour.

Un drame lyrique aux rebondissements inattendus.

Né le 25 octobre 1940, André Montpellier, anagramme de Normand Pelletier, enseignant retraité, occupe ses loisirs à l’écriture (essai, roman, théâtre et poésie) ainsi qu’à la musique et à la peinture. Ses théories musicales novatrices, ses récits audacieux, symboliques et éblouissants, ses airs venus des sphères primordiales, ses vers martelés par la foudre de Jupiter sur l’enclume de Vulcain ainsi que ses coups de pinceaux impressionnistes évoquent l’univers, l’origine de l’harmonie, les concordances entre la poésie, la musique et les couleurs, le savoir de la survie et l’égalité harmonieuse entre l’homme et la femme...
Une toile de fond : le message du Graal.